samedi 15 mars 2014

Comme l'opposition n'a pas de projet

Elle passe son temps à dénigrer ...

Tout le monde ne peut pas avoir une vision, tout le monde ne peut pas décliner les150 projets comme la liste Bravo Louviers !  


L'invidia, fresque de Giotto, ornant
le mur de la chapelle des Scrovegni
à Padoue. Un hommage de la vertu
aux vices, en quelque sorte ...
Certains ont fait comme ils pouvaient ... par exemple en programmant 30.000 habitants en 2030 ... mais ça a fait pschitt, comme dirait l'autre ... Ils ont, aussi, rappelez vous, voulu mettre le marché sous cloche ! En fin de compte, c'est les projets, les idées qui se retrouvent sous cloche ! Il n'y a plus rien qu'une vision moribonde d'une ville qui les porte pourtant, mais dont ils ne sauraient que faire !

Plus nous avançons, et moins il y a d'idées. Elles laissent la place à une suite de rancœurs, de récriminations, et de mauvaise bille ... La terrible envie qui mine le cœur des hommes et qui reporte sur les autres leurs propres frustrations (voir ci-joint l'illustration de Giotto illustrant ce pêché capital dans la chapelle Scrovegni à Padoue).



L'opposition est incompétente

L'opposition est incompétente. Si elle n'a pas de vision alternative, elle ne sert à rien. Il faut au moins vouloir comprendre ce qu'est une ville, le travail d'une municipalité, afin d'en réveler d'ailleurs des 
insuffisances (il y en a toujours), des incohérences, et l'inadaptation du travail effectué à la vision de la cité. Mais l'opposition nous prive de débat ! Elle limite son action à la critique systématique des peine-à-jouir. On a, à Louviers, la plus belle piscine du département et voilà que cela devient dans leurs tracts : la tragédie de la piscine ! C'est à pleurer tellement c'est bête !
Autre sujet mis en avant par un ancien adjoint (chargé de la voirie pourtant !) dont on se demande ce qu'il aura appris durant son mandat ! le voilà qui confond voies piétonnes (interdites à la circulation) et zones de rencontre qui permettent précisément de faire cohabiter véhicules, vélos et piétons, dans le respect réciproque en laissant la priorité aux plus fragiles ( dans l'ordre : handicapés, piétons valides, vélos, deux roues voitures) ... C'est exactement ce qu'il faut pour une ville agréable où chacun trouve sa place ... au plus grand profit d'ailleurs d'un espace commerçant. Mais là n'est pas le pire. Le pire c'est qu'il ne s'agit pas d'un projet mais d'une réflexion (visiblement, 

L'opposition n'aime pas la démocratie !



Elle critique le plan de déplacement urbain ! Pourquoi pas, le plan de déplacement urbain, comme tout document a droit à la critique ! Mais s'il est une critique qu'on ne peut lui faire, c'est celle du manque de transparence ! Parce que le Pdu est précisément élaboré sur des années, soumis à toutes les instances, toutes les associations. Il subit, comme le Scot des va et vient nombreux. Il est amandé, corrigé, rectifié, voté ! ... et, le seul document qui en ressort, c'est précisément un élément illustrant une hypothèse qui a été depuis éliminé. Incroyable qu'un ancien membre de la majorité municipale puisse sortir ça  !!! Incompétence ou mauvaise foi ? Les deux peut-être !
L'opposition n'a pas de projet. C'est la raison pour laquelle, elle
s'emporte contre tout ce qui rêve, tout ce qui pense, tout ce qui
bouge, tout ce qui vit. Un ensemble de frustrations ne saurait
toutefois constituer un programme électoral ...

1 commentaire:

Sylvia Mackert a dit…

ayant participé aux réunions pour le PDU j'ai en mémoire qu'on ne voulait pas de zone piétonne justement pour pouvoir circuler, donc tout le contraire et il y a bien eu la décision des zones de rencontres et surtout de ne prendre aucune décision irréversible et il ne faut pas oublier que la rue PMF est une rue départementale, donc on ne peut pas faire n'importe quoi.

on avait dit à l'époque qu'on pourrait peut-être envisager de mettre une autre rue en rue piétonne mais pas tout le centre-ville, donc je ne comprends pas d'où viennent ces rumeurs ou alors personne n'a suivi tout ce qui a été publié à ce sujet dans le passé.