lundi 23 février 2015

Les candidats soutenus par les radicaux dans les élections départementales

Communiqué de presse 


Elections départementales des 22 et 29 mars 2015, le parti radical de gauche précise ses positions :

Réuni en assemblée générale, la fédération de l’Eure du parti radical de gauche rappelle l’importance du scrutin à venir dans le contexte national et dans le cadre départemental.
c
Dans le canton de Louviers, Patrice Yung et Leslie Cléret,
suppléés par Eric Lardeur et Anne-Josy Guérard, représentent
la majorité départementale.
La situation nationale implique une forte mobilisation des républicains pour défendre les valeurs fondamentales de liberté, d’égalité, de fraternité et de laïcité magnifiquement soutenues lors des manifestations qui ont suivi les terribles attentats qui ont marqué le début de l’année 2015.
Au Neubourg, une alliance entre les radicaux et les écologistes.Françoise Martin (parti radical de gauche) part en binôme
avec Ludovic Lesage (Eelv)
Cette situation appelle à un sursaut civique qui interdit toute abstention. Nous appelons les électeurs à rejeter les faux prophètes, le repli sur soi et le danger populiste. Les radicaux se mobilisent face aux atteintes présentes et à venir qui attaquent la démocratie et la liberté d’opinion.
Claude Béhar, conseiller général sortant, maire d'Aviron,
accompagné de son équipe à la conquête d'Evreux 2
Par ailleurs, le parti radical de gauche soutient la politique départementale menée par la majorité de gauche présidée par Jean Louis Destans. Son bilan est remarquable, tant au niveau de l’image de notre département, de la qualité de sa gestion que de son action déterminée à soutenir l’économie et à promouvoir une politique sociale généreuse, efficace, novatrice.
Le parti radical de gauche soutient ses candidats dans les cantons suivants :
Sur le canton de Bourgtheroulde, une équipe déternimée
autour de Jean Quétier
Bourgtheroulde : Jean Quetier et Christine Van Duffel (divers gauche)
Evreux 2 : Claude Béhar (prg) et Claire Carrère-Godebout (divers gauche)
Le Neubourg : Françoise Martin (prg) et Ludovic Lesage (EELV)
Louviers : Patrice Yung (prg) et Leslie Cléret (PS)

Dans les autres cantons, le parti radical de gauche appelle les électeurs à voter pour les candidats de gauche.











dimanche 15 février 2015

Du service civique obligatoire ... une belle soirée radicale

Géraldine Guilpain, présidente des
jeunes radicaux de gauche a animé
avec talent un café sur un sujet
passionnant parce qu'on ne peut
l'aborder sans toucher à ce qui
fonde le cœur de notre société, le
cœur de la République
 Disons-le tout de go, le projet de service civique obligatoire n'a rien à voir avec les attentats. Le projet existait avant, il existera après, c'est un projet à faire vivre et à inscrire dans un programme politique. Lors de sa conférence de presse, le Président de la République n'a parlé que de renforcer et rendre plus abordable le service public. Il n'a pas parlé de le rendre obligatoire... et ça change tout ! 


Anne-Marie Jourdan  insisté sur l'intérêt
pédagogique que devrait revêtir le service
civique..
Les  attentats du 7 janvier,  la révélation des fractures de la société française nous obligent à repenser les programmes politiques. La société française s'est révélée. Voilà pourquoi le service civique obligatoire doit être l'objet d'un débat national, nécessitant une large participation parce qu'elle pose une question de fond sur les rapports entre la République et les citoyens. Il doit être un enrichissement pour tous, pas une punition. Ainsi la mise en relation des attentats, de la réaction populaire, du rejet d'une partie de  la population vis à vis de cette réaction, bref la mise en relation de tout ça et d'un projet de service civique obligatoire est pour le moins une maladresse. 

Géraldine Guilpain  a travaillé depuis longtemps le sujet avec les jeunes radicaux de gauche. Parce que ce n'est pas le tout de revendiquer un service obligatoire, il faut aussi prévoir de le mettre en place. 

Le principe d'un service civique obligatoire, loin de
provoquer un rejet, évoque plutôt quelque chose de positif.
On est loin d'une nostalgie du service militaire, dont on
admet l'intérêt historique et son inadaptation à la
république moderne, mais, à l'évidence, il manque un lien.
Qui visera-t-il ce service civique ? A quel âge ? Pour combien de temps  Encouragera-t-on les jeunes à quitter leur domicile ? Pourra-t-il être prolongé par des périodes de stage tout au long de l'existence ? Sans parler des sanctions à opposer au réfractaires ou de l'indemnisation de ces conscrits civiques. 

L'Etat, en supprimant le service militaire
obligatoire, proposait de le remplacer
par une sorte de service civique, qui
n'est jamais venu.
Géraldine Guilpain a rappelé que lorsque Chirac a mis fin au service militaire en 1996, il a aussitôt proposé de le remplacer par quelque chose ... qui n'est jamais venu. 
Or, le service militaire, malgré tout ses défauts avait aussi son utilité. Il rappelait aux jeunes que tout ne se passait pas à l'école, il permettait la confrontation des milieux et des situations individuelles, Il obligeait les garçons a sortir de chez eux et d'un cadre familial et leur montrait la capacité de survie hors de ce cadre.  Accessoirement, me dira-t-on, le service militaire avait aussi pour vocation de préparer au métier des armes, et à rendre une nation solidaire de son armée. 
C'est ce dernier aspect qui a le moins marché. La puissance d'une armée ne se mesure plus en nombre de conscrits, mais beaucoup plus en moyen de les équiper et en coût d'armement. Qui plus est, la solidarité entre une Nation et la défense de son territoire concerne aussi bien les hommes que les femmes. Enfin, la défense d'un territoire va bien au delà de l'offensive militaire. Nous l'avons d'ailleurs ressenti lors des attentats. Comment réagir face aux agressions de ce type, face à une agression nucléaire, l'explosion d'une centrale etc.

Laurent Giesbert a évoqué
l'importance du travail réalisé 
par des associations offrant 
aux adolescents un cadre
d'action pratique et collectif.
Bien entendu, il ne faut pas perdre de vue la chance énorme que peut apporter la capacité de l'Etat de s'adresser à sa jeunesse, en dehors d'une démarche scolaire, avec un projet d'utilité sociale à définir. 
Toute la soirée a porté sur ce sujet, et des différentes expériences liées à l'adolescence et aux nécessaires rencontres entre les générations. Le scoutisme a pris notamment une part importante dans le débat. 
Si tout est à inventer, il ne s'agit pas de partir de rien. Le très beau projet de société doit réinventer le rapport de la France à sa jeunesse, en dehors des circuits professionnels et scolaires dans la volonté du lien.
Merci à Géraldine Guilpain d'être venue nous en parler .... en espérant que ce projet sera creusé et repris en charge par la République.











dimanche 8 février 2015

Service civique : encore un effort, Monsieur le Président ...

Comme attendu, François Hollande a annoncé la 
création d'un service civique universel, lors de sa
conférence de presse marquée par l'esprit du 11 janvier.


Ce n'est pas le tout d'annoncer la création d'un service civique universel ... encore faut-il savoir comment le mettre en place ! Après l'indispensable annonce, place doit être faite au débat Républicain.

Quand, comment, pour qui et, au fait, pour quoi, dans quel but et à quel prix ? Autant de questions qui se posent et aux quelles finalement un Président de la République n'est pas en mesure de répondre ... même si l'on peut penser qu'en reportant la réflexion à plus tard, il a eu la bonne attitude. 
Pour avoir une quelconque efficacité, le service civique ne doit pas être vécu comme un gadget mais comme un élément majeur d'un projet de société. 
Des tas de questions se posent déjà, comme sa relation avec un service militaire, aboli il y a 20 ans, dans un consensus général curieusement adossé à un sentiment nostalgique. Dejà, Luc Ferry et Henri Guaino disent que seul un service militaire peut être obligatoire. Tout le monde, dont l'auteur de ces lignes, ne comprend pas pourquoi.
Comme autre question nous avons le lien avec l'école. Le service civique sera-t-il capable de faire ce que l'école a été incapable de faire ? 
Et si le service civique est la prolongation de l'école, alors, à quel âge doit il avoir lieu ? Doit-il y être intégré ? 
Le service civique doit il être au contraire intégré dans la vie active, ou, tout du moins l'y préparer ? Doit-il être rémunéré, indemnisé ou totalement gratuit ? 
Qui, quelle structure doit l'organiser, le contrôler ? Autant les casernes étaient le lieu automatique de l'accueil des conscrits, autant l'accueil des appelés de la République est difficile à résoudre.
Déjà, en se posant toutes ces questions, pointent les écueils sur lesquels ce projet généreux ne devrait pas s'échouer. Le service civique est revenu sur le devant de la scène parce qu'une minorité a montré sa résistance au projet commun républicain. Il ne faudrait pas qu'il puisse être assimilé de quelque manière que ce soit à une punition collective. 
En fait, rien n'est plus beau, rien n'est plus grand, même si rien n'est plus difficile, que de définir le projet républicain. Tout simplement parce que là est le projet collectif, qui doit nous permettre de vivre ensemble. 
C'est à cette tâche que je vous invite à participer  avec Géraldine Guilpain, présidente des jeunes radicaux de gauche et auteur d'une tribune remarquée sur le site du Nouvel observateur et défendant le service civique obligatoire. 
Venez nombreux 

Le service civique obligatoire  
peut-il résoudre la fracture sociale ?  

café radical 
vendredi 13 février
18h30
au Jardin de Bigards
39 rue du Quai 
27400 Louviers












vendredi 6 février 2015

Pour la laïcité, un texte d'Anne-Marie Jourdan

Anne-Marie Jourdan, conseillère municipale
à Val de Reuil.
Anne-Marie Jourdan est conseillère municipale à Val de Reuil. Militante active et infatigable, elle a osé proposer l'instauration d'une journée de la laïcité à la suite des attentats qui ont blessé la France entière.
Quelle audace !
C'était sans compter la vigilance de Marc-Antoine JAMET, fer de lance du socialisme rolivalois qui a derechef bloqué tout débat au sein de son conseil et lui a interdit de  prendre la parole.

Le café radical se permet malgré tout de répercuter l'intervention d'Anne-Marie Jourdan, non seulement parce qu'il ne supporte pas la censure, mais parce que, c'est vrai, pour les radicaux la laïcité est un principe inaliénable de notre République. Ce sont les radicaux, rappelons-le qui sont à l'origine de la loi de 1905 de séparation de l'église et de l'Etat. Un modèle pour la liberté.
Voici le texte d'Anne-Marie Jourdan.


En ma qualité de doyenne de notre assemblée, je souhaite faire une proposition au Conseil

Ce début d'année 2015 a été, pour tous, un moment extrêmement douloureux à vivre :

Pour la première fois au monde, il faut le souligner, la rédaction d'un journal de cinquante ans d'existence a été exterminée par arme de calibre de guerre et dans le même temps des citoyens français ont été exécutés de la même manière .

Face à cette violence fasciste, la France entière dans sa diversité, a su se mobiliser fraternellement dans le calme consciente de l'importance de ses valeurs démocratiques.

Cette tragédie a une résonance dans notre présent. Elle en aura pour l'avenir , c'est certain , si rien n'est fait .

Il s'agit maintenant que nous tous et que tous les responsables où qu 'ils se situent , manifestent concrètement leur réelle détermination à renforcer le lien civique et sociétal, contribuent à plus de partage dans un esprit tolérant et respectueux de chacun c' est à dire que soient réellement appliquées les valeurs de la République : Laïcité, Liberté , Égalité , Fraternité , qui font place à chaque individu et à sa liberté, pour donner sens aux nécessaires actions en faveur de l'emploi, du logement, de l' éducation et d' action sociale .

C’est pourquoi je formule une proposition au nom du Groupe Génération Val de Reuil :

D’organiser la fête de la Laïcité à Val de Reuil le 9 décembre prochain ( date anniversaire de la Loi de 1905 ), comme nous l'avions déjà prévu dans notre programme d'ailleurs. Cet événement :

-       marquera pour les habitants et les responsables la volonté de concrétiser les fondements du socle protecteur de toutes nos valeurs démocratiques.

-       permettra dans cette attente de travailler tout au long de l'année sur ce thème avec les diverses institutions citoyennes et établissements scolaires de tous niveaux.

donnera à comprendre le long processus de laïcisation de l’État

-        en France au cours de son histoire pour réaliser son indépendance, celle des cultes et de la société civile et établir la neutralité qui doit primer dans l'espace public et dans toutes les pratiques institutionnelles,

-       montrera comment la Loi de 1905 a fait l'objet de très longs débats parlementaires près d'un an , ce qui a permis une adoption à l'unanimité saluée par JAURES en ces termes : « œuvre commune et honneur commun de tous les républicains »

-       fera comprendre, ce qui est l'essentiel, la nécessité de parvenir à concilier volonté d'unité et désir de diversité par la recherche d'un niveau prioritaire commun à tous, permettant de mieux vivre nos appartenances variées dans un esprit de compréhension partagée et neutre.

Telle est la proposition que je n'ai pu faire au conseil le 5 février le Maire ayant brutalement clos la séance.

Anne-Marie Jourdan

lundi 2 février 2015

Radicale, la Grande Normandie



L'image idéale des radicaux normands, venus en force le dernier jour de janvier 2015 pour construire l'avenir.
Franck Martin a animé un débat sur les valeurs radicales à
défendre dans la Normandie de demain. Les échanges sur la
laïcité ont valu par leur pesant de moutarde.
C'est pas le tout d'avoir réussi la Grande Normandie meme si les radicaux ont été les seuls à la défendre avec acharnement. À présent qu'elle s'impose avec évidence, il ne faut pas en rester là. La Normandie est là. Sans le haut, sans le bas, dans son entièreté et dans sa réalité. Elle est déjà la seule Région cohérente par sa culture, par son histoire dans le découpage territorial français. Encore faut-il en faire quelque chose de notre Normandie, qu'elle profite à ses habitants, qu'elle intègre un projet. C'est sur ce thème que ce sont réunis à Caen les radicaux de toute la Normandie, avec les historiques, le député Alain Touret et Franck Martin, les présidents des 5 fédérations, les conseillers régionaux, et tous ceux qui mettent la Normandie et le radicalisme au cœur de leur projet. Plus de 80 radicaux réunis pour une journée de travail illuminant un samedi marqué par un ciel aussi normand qu'hivernal. Bravo Yves Bertrand !
Paul Dhaille et Valérie Gibert-Thieullant dans un atelier
studieux.
Pas question ici de hiérarchiser les interventions ou la qualité de réflexions des groupes de travail, mais l'expérience, nécessaire et réussie, sera à renouveler. Sur la Normandie, sur nos valeurs intrinsèquement Républicaines, il y a des choses que seuls les radicaux peuvent dire.
Il y a le débat à mener nationalement sur les compétences et le projet, et puis il y a le combat à mener pour aboutir à des projets concrets.
Un atelier qui déménage ! Celui où l'on a parlé service rendu à
la population, routes, mais aussi universités et culture. La
Région n'est pas un outil de proximité, même s'il doit permettre
à une politique de proximité de s'exprimer pleinement. Il faut
au maximum favoriser un fonctionnement en réseau.
Il a été question d'infrastructures, de routes, d'implantation de capitale, d'organisations, mais, bien au-delà, d'actions sociales et de projet culturel. Parce que, la création de la Normandie n'est qu'un pied dans la porte de la France en train de se réformer. La création de grandes régions dans le seul but de faire des économies n'a pas de sens. Il faut revoir le rapport entre Etat, Régions, départements, intercommunalités et communes. C'est tout l'enjeu de la construction de la République moderne. Les radicaux entendent  y prendre toute leur part, en Normandie comme ailleurs.
Alain Tourret rappelle son combat de toute une vie pour une
Normandie unie. Maintenant, il faut se poser la question de la
capitale. Rouen ? Caen ? Le Havre ? Et si l'absence de capitale
évidente était une chance pour notre future région ? Si cela
permettait l'ouverture vers une région moderne, favorisant un
fonctionnement en réseau, au rebours de tout de qui s'est fait
en France jusqu'à présent ?


Michaël Baron, qui a joué un rôle majeur, avec Dimitri Marsaleix
dans l'organisation de la journée. Au centre de de la tribune, le
géographe Pascal Buléon qui a su donner une vision réaliste et
chiffrée de la Normandie, pour son présent et son avenir.




dimanche 1 février 2015

Service civique obligatoire ? Le débat !

La France a la passion de l'égalité. 
La marche du 11 janvier où la France a montré ce qu'elle était. Un rejet de
l'injustice, une soif de liberté, de fraternité et d'égalité. Ces principes ont fondé
la 
laïcité. Le projet de service civique obligatoire en est il la suite logique ?
C'est ce qui justifie à mon sens toutes ces réactions qui se sont manifestées à la suite du plus beau mouvement de consensus populaire qui s'est manifesté à la suite de l'attentat du 11 janvier. 
Ainsi, alors que la France, comme Nation, avait montré la puissance de sa cohésion, alors qu'elle avait démontré ce qu'était l'identité Nationale, il a fallu, très vite, qu'elle s'inquiète de comportements minoritaires. 
Cette anxiété peut certes s'expliquer rationnellement puisqu'après tout, ce sont ces comportements minoritaires mêmes qui ont provoqué les deux attentats du 7 janvier. Mais au delà, la France est fondamentalement troublée par ces comportements qui ne s'intègrent pas dans une logique de consensus. 
Les propos de Manuel Valls intègrent cette démarche. Comment expliquer sinon qu'un premier Ministre évoque l'apartheid en parlant de la situation française, qui, pour sérieuse qu'elle soit, n'a rien de comparable avec les horreurs qu'ont pu connaître les populations sud-africaines ? Comment expliquer cet espace médiatique laissé aux théoriciens du complot ? Comment expliquer cette médiatisation des rots venimeux de Dieudonné ou des vieilles barbes réactionnaires à la Zemmour, Finkelkraut, ou Philippe Tesson ... Comment expliquer cette panique devant des comportements troublants d'adolescents provocateurs ? 
La remise à l'ordre du jour d'un service civique obligatoire participe de cette réaction générale. Elle suscite autant d'attraits que d'interrogations. On a même évoqué un référendum. C'est que le sujet n'est pas simple. En tous les cas, il intéresse, voire il passionne.
Mais chez les radicaux, le projet n'est pas nouveau. C'est ce que rappelle justement Géraldine Guilpain, présidente des jeunes radicaux de gauche qui a publié un article passionnant sur le Plus de l'Obs. 
Mais le sujet n'est pas simple. Le service civique existe déjà. Il n'est pas obligatoire et il n'est pas à même de répondre à toutes les demandes. Il faudrait donc, après la dissolution du service militaire, recréer un service obligatoire pour toute la jeunesse qui aurait pour fonction de remédier aux difficultés de l'éducation nationale. Il convient donc de créer une machine républicaine, égalitaire, efficace qui permette d'inculquer les valeurs du vivre ensemble. Comment réussir ce challenge ? La France en a-t-elle les moyens  ? 

Autant de sujets passionnants au sein d'un même sujet au cœur des interrogations que porte la République moderne. 
Ces questions, en tous les cas, valent bien un  café radical.
Géraldine Guilpain
Présidente des jeunes 
radicaux de gauche
Justement, Géraldine Guilpain est l'invitée du café radical 

vendredi 13 février à Louviers, à 18h30
Jardins de Bigards
39 rue du Quai
27400 Louviers

Le débat s'annonce passionnant