mercredi 8 juillet 2009

Franck MARTIN fait reculer l'intolérance !




En donnant raison à Franck MARTIN, la cour de cassation donne raison au comportement courageux du maire de Louviers qui a réussi à empêcher un groupe de militant qui souhaitaient interdire une représentation théâtrale.

Franck Martin et Alain Touret ont commenté l'arrêt de la cour de cassation lors d'une conférence de presse le 6 juillet.



Franck MARTIN, en apprenant qu'un groupe d'individus voulaient interdire une pièce de théâtre en mars 2005 a agi en défenseur des droits de l'homme et en maire de Louviers ... Il a tout fait pour que la troupe de théâtre puisse se produire malgré les opposants. Épisode difficile.

Bien que premier magistrat de la ville, cela n'a pas empêché Franck Martin de se retrouver projeté à terre.



Force semblait toutefois rester à la loi républicaine, puisque la représentation d'Au nom du père, la pièce de théâtre a finalement eu lieu.


Mais l'histoire ne se termine pas là.

Deux associations de défenses des Harkis ont voulu instrumentaliser les faits en accusant Franck Martin d'avoir porté atteinte à la dignité des harkis pour avoir déclaré "la liberté d'expression est une liberté fondamentale que ni les excités ni les apprentis dictateurs n'aboliront" "On commence comme ça et on finit par des fatwas "

A la suite de rebondissements judiciaires incroyables, les associations ont réussi à obtenir en appel une compensation en civil, ce qui contredisait le premier jugement qui relaxait Franck Martin. D'où la décision d'aller en cour de cassation qui a définitivement donné tort aux associations.

Bravo Franck pour ton courage !

Encore une fois, tu as défendu une cause juste. L'acharnement juridique de tes adversaires nous a été insupportable !

Nous sommes fiers d'être de tes amis, fiers d'être radicaux, défenseurs de la liberté et adversaires de l'intolérance ...

Pour écouter l'interview vidéo de Franck Martin dans le blog de José Alcala, cliquez ici, pour lire le commentaire de Franck Martin sur son blog, cliquez .

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