De la Maternelle à l'Université, enseignants, étudiants, lycéens, parents d'élèves sont montés en puissance face aux réformes affichées par le gouvernement.
C'est banal, ou c'est classique. Depuis mai 68, on se plaint d'une éducation nationale impossible à réformer tout en constatant un malaise constant. C'est le mammouth, dont Allègre avait qualifié l'éducation nationale.
Chevènement avait promis il y a 25 ans d'amener au baccalauréat 80 % d'une classe d'âge ... Darcos veut assurer à chaque élève la maîtrise du "lire écrire compter", base de l'instruction.
François Bayrou, ministre de l'éducation nationale a voulu faire de l'école un sanctuaire, Jack Lang pleure une école abandonnée, mais ne devons nous pas agir pour une modernisation de l'école ?
Il n'y a plus grand chose de commun entre l'école publique voulue par Jules Ferry et les exigences du 21e siècle.
L'enseignement a évolué avec la société mais la France n'a pas de projet d'envergure, capable d'anticiper les besoins de la société de demain, la société de l'intelligence, qui concerne l'être humain de la naissance à la mort.
Quel est l'état des lieux de l'éducation ?
La structure de l'Education Nationale la condamne-t-elle à l'immobilisme ?
Tous ces sujets seront abordés lors du prochain café radical
Education, faut-il enterrer les réformes ?
vendredi 29 mai
brasserie du jardin de Bigards
39 rue du Quai à Louviers
de 18h30 à 20 heures ...
avec Rodrigue Flahaut
Secrétaire national à l'Education
et Pascal Eric-Lalmy
Secrétaire national à la laïcité
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