Quel est le pays qui s'est lourdement et massivement abstenu lors du dernier scrutin ? Quel pays a rejeté les extrêmes, a refusé le repli sur soi, qui a rejeté la gauche officielle, qui a soutenu les forces conservatrices qui lui ont fait tant de mal ... Quel est le pays qui s'interroge sur son avenir par un vote massivement écologiste ?
Ce pays, ce n'est pas un pays, c'est l' Europe...
Une terre de 450 millions d'habitants, aux paysages variés, aux cultures, aux histoires diverses... mais qui est capable de s'exprimer de manière cohérente en dépit des particularités locales ....
Bien sur, en Grèce, c'est la gauche qui a gagné, en Grande-Bretagne, en Hollande, en Autriche, l'extrême droite a connu des succès... mais au delà de ces disparités, une opinion publique européenne s'impose, au delà des États.
Déjà ce phénomène avait été perceptible lors de la guerre en Irak où l'on avait observé les plus vastes rassemblements dans toutes les capitales européennes, et que, y compris dans les États participants à l'odieuse opération, on a connu une opinion publique hostile, marquée par un comportement pacifiste européen.
Raison de plus pour défendre l'idée d'un scrutin de liste européen, obligeant les grands partis à une politique cohérente au nom de l'Europe et empêchant que l'on confonde enjeux nationaux et scrutin politique.
C'est l'idée défendue par Franck Martin (cliquer là), à reprendre très largement. Elle est trop belle pour ne pas s'imposer
Ce pays, ce n'est pas un pays, c'est l' Europe...
Une terre de 450 millions d'habitants, aux paysages variés, aux cultures, aux histoires diverses... mais qui est capable de s'exprimer de manière cohérente en dépit des particularités locales ....
Bien sur, en Grèce, c'est la gauche qui a gagné, en Grande-Bretagne, en Hollande, en Autriche, l'extrême droite a connu des succès... mais au delà de ces disparités, une opinion publique européenne s'impose, au delà des États.
Déjà ce phénomène avait été perceptible lors de la guerre en Irak où l'on avait observé les plus vastes rassemblements dans toutes les capitales européennes, et que, y compris dans les États participants à l'odieuse opération, on a connu une opinion publique hostile, marquée par un comportement pacifiste européen.
Raison de plus pour défendre l'idée d'un scrutin de liste européen, obligeant les grands partis à une politique cohérente au nom de l'Europe et empêchant que l'on confonde enjeux nationaux et scrutin politique.
C'est l'idée défendue par Franck Martin (cliquer là), à reprendre très largement. Elle est trop belle pour ne pas s'imposer
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