
mardi 29 mars 2011
L'identité républicaine bouscule la droite

lundi 28 mars 2011
Vive la République !

Quelques réflexions après la soirée du 27 mars en
Mauvaise gagnante !
On connaissait les mauvais perdants, mais Leslie Cléret a montré hier soir ce qu’était une mauvaise gagnante !
A l’annonce des résultats de sa victoire, on aurait pu espérer que l’élue de gauche œuvre à une réconciliation… que nenni ! Elle n’a eu de cesse que de distribuer des bons et des mauvais points, façon vieil instit’ d’avant la méthode Freinet.
Au premier rang des personnes visées ceux qui avaient osé soutenir une candidature qui n’était pas la sienne, soit les radicaux de gauche qui avec
Les trotskystes à contrechant
L’annonce des résultats et du score du Front National a sonné le départ de la chorale trotskyste qui avait préparé la soirée pour se faire un peu de publicité.
Reste une question : « pourquoi les trotskystes ont ils entonné le chant des partisans ? » On comprend qu’ils se soient lassés de la chanson de Craonne, mais quel rapport entre cette chanson écrite entre autres par Maurice Druon et leur école de pensée ?
Les trotskystes ont été absents des débats et des engagements de la Résistance, même si quelques rares individus s’y sont engagés individuellement, alors que d’autres attaquaient… la France libre par voie de tracts ?
Certes, il s’agit là d’ « eau usée », comme disent les Italiens, mais ce sont quand même eux qui y reviennent avec des chansons inadaptées au contexte, et qui contredisent tout ce qu’ils sont. C’est bien simple, on dirait des militants Front National en train de chanter la Marseillaise.
Le Front National à contrechant
Une seule chanson nous montre ce que nous sommes, une seule chanson dépasse les clivages partisans, transcende l’histoire et nous ramène aux sources de la République, celle de la liberté, de l’égalité et de la fraternité. Cette chanson, c’est la Marseillaise. Une chanson que déteste les Trotskystes parce qu’ils veulent la fin du régime Républicain. C’est pour cela que, par ruse, leur chorale a lancé le Chant des partisans … et ils se sont fait emboiter le pas par certains socialistes locaux toujours prêts à se laisser embobiner.
Heureusement, quand le maire de Louviers a entonné la Marseillaise, il a été suivi par l’ensemble des maires présents Hubert Zoutu, Dominique Delafosse et Alain Loeb, ainsi que par ceux qui dans la salle voulaient montrer leur attachement à la République.
Le Front National a lui aussi chanté la Marseillaise. Et alors ? Il utilise aussi le drapeau tricolore, a tort et à travers. Est-ce que les Républicains doivent leur abandonner le terrain ?
et justement .... la campagne électorale achevée, je vais enfin pouvoir reprendre les activités du café radical. Prochain rendez-vous mercredi 13 avril 2011 à 18h30 au Jardin de Bigards
jeudi 24 mars 2011
Ça vous chatouille ou ça vous gratouille ?
Pour la première fois la presse locale s'attaque à ma personne. Ma modestie en est forcément atteinte, même si mon nom, cité deux fois dans la Dépêche fait l'objet d'une faute d'orthographe qui, pour courante qu'elle soit (mon nom, Taconet, ne prend qu'un n) n'en est pas moins regrettable. Je passe ...
La presse locale est susceptible. Elle n'a pas supporté que je demande quelle était son utilité. Pour moi, sa mission est d'être une animatrice des débats locaux (vous pouvez retrouver l'intervention sur mon blog en cliquant ici...). A ma question : à quoi ça sert la presse locale ?, la Dépêche répond qu'elle n'est pas rien, c'est un autre sujet.
Au lieu de s'interroger sur ce qui a provoqué la perte des 3/4 de ses lecteurs, la presse locale préfère la posture de l'indignation. C'est une attitude paresseuse, et elle en est la première victime, avant même les acteurs locaux et les lecteurs. Pauvre d'elle-même et pauvres de nous !
Au fond, la presse locale m'attaque parce que je l'ai invitée... à une conférence de presse... J'ai eu le tort d'imaginer que La Dépêche ou Paris Normandie pourraient se déplacer parce qu'un sujet risquait d'intéresser ses lecteurs ! Elle n'est pas venue. Je l'ai regretté. J'aurais pas dû. Je fais profil bas, et je présente mes excuses.
Mais je ne suis pas le seul mis en cause. Pour prouver que la presse locale a raison, elle doit aussi attaquer le seul journaliste qui a fait l'effort de se déplacer, en gros qui a fait son travail : José Alcala.
Peu importe que José Alcala tienne depuis plus de trois ans le blog de référence politique du département. Il s'agit pour La Dépêche et Paris Normandie d'affirmer leur monopole de l'information locale !
Alors la presse locale s'acharne à donner les preuves que José Alcala n'est pas un vrai journaliste! Il est blogger. C'est vrai qu'il y a peu de temps, la presse locale était plus tranquille. Maintenant, des gens disent ce qu'ils pensent et sont écoutés.
Certes, José Acala ne fait pas partie du clan ! C'est un vrai journaliste, cependant, carte de presse incluse. Mais il tient à son indépendance comme personne ! Il déteste la tiédeur, et s'engage à fond derrière tout ce qu'il fait. Ce sont pourtant les qualités majeures d'un bon journaliste surtout lorsqu'elles s'appuient sur une connaissance et une curiosité sans cesse renouvelée après des dizaines d'années passées sur le terrain. On peut reprocher tout à José Alcala ... mais pas son manque d'indépendance.