jeudi 27 juin 2013

Touche pas à mon marché !

Benoit Veyrat programme

la fin du marché de Louviers

 

 


Benoit Veyrat et François Xavier Priollaud place de la Halle.
Est ce parce que personne ne veut de leur tract qu'ils veulent
supprimer le marché ?
Benoît Veyrat vient de sortir son premier document de campagne. Dans le climat morose dont nous sommes gratifiés depuis le printemps, voilà qui n'a guère de quoi nous rassurer avant les vacances. Il ne propose rien moins que la fin programmée du marché du samedi. Une catastrophe !



Pourquoi s'attaquer au marché de Louviers, ce lieu de vie exceptionnel, riche d'histoire et de souvenirs. Faut-il à détester la ville et la vie pour vouloir priver notre cité de ce qui a fait son histoire, de ce qui fait son identité  ?
Ce qui transparait dans ce document de campagne, c'est la peur de la vie, ce qui avait marqué le dernier mandat de la droite qui avait laissé la ville péricliter.
La perspective d'une halle couverte éloignée du centre ne changera rien à la catastrophe programmée pour le commerce local et pour la vie de la cité que représenterait la richesse exceptionnelle du marché du samedi matin qui profite à tous les lovériens et au delà.

Le marché fait partie de notre patrimoine. Ici une photo de
Faugas, fin du 19e siècle, conservé au musée de Louviers.
Mais l'histoire du marché remonte quasiment à la naissance
de la cité.
Là se crée une dynamique sociale et commerçante et depuis toujours quand de l'extérieur on va à la ville, on en profite pour faire ses courses, voir ce qui a changé dans la ville faire du lèche vitrine et se promettre d'y revenir hors marché. 
Curieux que ceux qui s'inquiétaient du soi-disant manque d'attractivité de Louviers veuillent détruire le cœur et le poumon de la cité.
Louviers et son commerce n'ont aucune vocation au suicide !
Nous saurons faire barrage au projet fou de Benoit Veyrat !
 


 


 






 


2 commentaires:

Berger-Guillot a dit…

B.V. comme BéVue ! En une semaine, Benoît-la-Bévue a frappé 2 fois. D'abord en proposant de supprimer le marché de la place de la Halle. Ensuite au conseil municipal, en insultant les employés municipaux. La Ville crée des emplois d'avenir. Il déclare " les emplois d'avenir sont des emplois du passé ". Ceux qui occuperont ces emplois et surtout tous les employés municipaux ne sont pas près d'oublier qu'un emploi dans la fonction publique est un emploi du passé !

Sylvia Mackert a dit…

Qui dit marché dit arrêt de la circulation le temps du marché, et peut-on imaginer fermer le Boulevard du Crosne tous les samedis ? Soyons logique ce n'est pas l'endroit idéal pour un marché.
Quant aux emplois avenir, ce sont des contrats créés par l'UMP au pouvoir si je ne me trompe pas, en remplacement des emplois solidarité et s'adressent principalement à des personnes ayant des difficultés à retrouver un emploi, donc pour eux c'est "un avenir" aussi précaire que ce contrat puisse être par ailleurs, car ce n'est pas un CDI, c'est beaucoup aux yeux de certains malgré tout.